Boos zu Waldeck und Montfort, Johanna Thekla, Gräfin von, geb. Freiin v. Bibra (1774-1856). 7 eigenh. Briefe mit U.

Sayn, 1816-1827.

Zusammen 16½ SS. auf 6 Doppelbll. und 1 Einzelblatt. 4to und 8vo. Meist mit eh. Adresse verso.

 800,00

In französischer Sprache an den königlich-preußischen Bibliothekar spanischer Herkunft Alvar Augustin de Liano. Über ihren zweiten Sohn Joseph, Überbringer des Briefes und Schüler des Adressaten, der derzeit auf dem Weg nach Cottbus ist, dessen Abreise ebenso wie die große Distanz zwischen ihnen sie bedauert und anmerkt, dass es weit mehr Schmerz als Freude in dieser Welt gibt: "Le porteur de cette lettre, est Joseph, mon second fils, votre élève, pour le moment il ne reste pas à Berlin, il va à Cottbus à sa destination [...] Je suis bien chagrine de ce départ, de la grande et cruelle distance qui nous sépare. Il y a bien plus de peines dans ce bâs monde que de plaisir! [...]" (14. IV. 1816).

Über ihren Sohn Joseph, der sich nicht mehr in Cottbus, sondern in Guben befindet, ihr Sorgen macht, selten schreibt und immer sagt, er fühle sich nicht wohl und sei für Größeres bestimmt: "Joseph est depuis bien long temp de retour à son Régiment, qui n'est plus à Cottbus, mais à Guben. Il a été cité de rétourner [...] il me cause beaucoup d'inquiéttudes, écris rarement, et dit toujours qu'il ne se trouve pas bien, qu'il est destiné pour de plus grandes choses [...]" (2. I. 1817).

Mit Freude nun endlich eine Schuld Josephs begleichen zu können: "Je suis bien honteuse d'avoir tardé aussi long temp, à la fin je suis assez heureuse de pouvoir liquider la dette de Joseph, vous rémercie mille fois [...]" (14. V. 1818). Darunter einige eigenh. Zeilen mit U. von Lianos Hand, der anmerkt, dass er diesen Brief als Zeugnis seiner Verbindung mit der Gräfin aufhebt, die ihrem Geschlecht alle Ehre mache: "Je me garde cette lettre que par un effet de mon attachement respectueux à une femme qui pour ses vertus est l'honneur de son sexe [...]" (23. V. 1818). - Über die Ungeduld, mit der sie täglich auf Neuigkeiten des Adressaten über das Ergebnis seiner Vorhaben wartet, das ihr Gesundheit, Ruhe und Zufriedenheit wiederbringen soll: "Chaque jour de poste j'attends avec impatience de vos nouvelles, l'heureux résultat de vos démarches amicals pour moi, qui me rendroient santé, tranquilité et contentement [...]" (20. VI. 1822).

Mit dem Bedauern, ihm nicht die gewünschten Bücher schicken zu können, da sie über die Bibliothek ihres Schwiegervaters nicht länger verfügt: "Je régrette infiniment de ne pouvoir vous envoyer les livres que vous désirés. Ce serait un vrai plaisir pour moi si je pouvais vous obliger en quelque chose, mais nous ne possédons plus la bibliothèque de [...] mon beau-père [...]" (16. VI. 1826).

In Trauer über den Verlust ihres Vaters, dessen Tod sie noch nicht fassen kann, und der auch ihre Gesundheit beeinträchigt: "Je ne peux encore me faire à l'idée de ne plus avoir mon bon père. Cette perte a beaucoup influé sur ma santé, malgrès tout ce que je me prêche il me reste un fond de mélancolie [...]" (27. I. 1827).

Über ihre mangelnden Beziehungen in Berlin: "A Berlin particulièrement il faut des connections, des bonnes connaissances quand on veut parvenir à son but [...] C'est ce qui Nous manque totallement [...]" (6. III. 1827).

Mit Spuren alter Montage.

Art.-Nr.: BN#51755 Schlagwörter: ,