4 eigenh. Briefe mit U.
Zus. 6 SS. auf 3 Doppelbll. und einem Einzelblatt. (Qu.-)8vo. 3 Briefe mit eh. Adresse verso.
€ 800,00
In französischer Sprache an den Drucker Charles Dezauche in Paris über ausständige Honorare.
Über die Summe von etwa 2100 Francs, die er ihm bereits vor dreieinhalb Monaten bezahlt habe, und verweisend auf die außergewöhnlich hohen Kosten seiner Musikzeitschrift, der "Revue musicale", zu Jahresbeginn: "Considerez, Monsieur, que depuis trois mois et demi je vous ai compté Deux mille cent et quelques francs [...] Les dépenses extraordinaires du Journal au commencement de cette année ont beaucoup depassé le budget ordinaire [...]" (Paris, 19. V. 1830).
Schuldschein über 2240 Francs, die Dezauche für den Druck der "Revue" noch zustehen: "Je payerai à l'ordre de Monsieur Dezauche la somme de deux mille deux cent quarante francs, valeur recue de lui en fourniture d'impression de ma Revue musicale [...]" (Paris, 1. VI. 1831).
Über seine prekäre finanzielle Lage, die ihn zwinge, 12 Stunden täglich zu arbeiten, und mit dem Versprechen, seinen Zahlungsverpflichtungen bestmöglich nachzukommen: "Toutes mes ressources ont été absorbées, et pour pouvoir à mes propres besoins, j'ai été obligé de m'imposer un travail de plus de douze heures par jour [...] J'arrive enfin au bout de cette pénible situation, et je me vois en état de satisfaire terme pour terme à mes engagemens avec vous [...]" (Brüssel, 5. VI. 1836).
An Boyer in Paris über den Selbstmord des Verlegers Sautelet, dem er kurz zuvor sein "Dictionnaire de musiciens" verkauft habe: "M. Sautelet, avec qui j'avais rendez-vous aujourd'hui à Midi pour recevoir des réglements relatifs à mon dictionnaire des musiciens, que je lui avais vendu, s'est tué ce matin à 6 heures d'un coup de pistolet [...]" (Paris, 13. V. 1830). Auf Briefpapier mit gedr. Briefkopf der "Revue musicale".
Beiliegend: 2 eh. Briefe mit U. seines Sohnes, des Musik- und Kunsthistorikers Édouard Fétis (1812-1909), an Dezauche mit Bedauern, diesen aus gesundheitlichen Gründen nicht treffen zu können, sowie über Wertpapiere und mit dem Angebot, gemeinsam zum Notar zu gehen (o. O. u. D.).
Eh. Brief mit U. von Dezauche an den Kassenbeamten Hubar in Brüssel über Fétis' ausständige Zahlungen mit der Aufforderung, diese mit größtmöglicher Härte einzutreiben: "Si vous ne pouvez obtenir [...] ce payement, je desire que vous [...] fassiez assigner M. et Mme. Fétis devant le tribunal de Commerce et que vous les fassiez poursuivre avec toute la rigueur possible [...]" (Paris, 24. VI. 1835). Eh. Brief mit U. eines Neffen von Hubar auf demselben Blatt.
Eh. Kontoauszug des von Dezauche beauftragten Notars Havet mit einem Hinweis auf den Gerichtsvollzieher Degroodt, der schon früher Zahlungen von Fétis eingetrieben habe: "Il a déjà, m'a-t-il dit, forcé Fétis à payer un autre créancier". Die gedr. Einladung zur Hochzeit von Havets Sohn auf demselben Blatt. Mit eh. Adresse an das Ehepaar Dezauche in Dieppe.
Kleine Randläsuren; vereinzelt leicht braunfleckig.