Kopp, Hermann, Chemiker (1817-1892). Eigenh. Brief mit U.

Giessen, 28. II. 1845.

2 SS. auf gefalt. Doppelblatt. Mit eh. Adresse verso (Faltbrief).

 650.00

Teilt Dr. Quesneville, Redakteur der "Revue scientifique", seinen Unmut hinsichtlich der fraglichen Veröffentlichung seiner Schrift gegen M. Hoefer mit, die dieser offenbar nur publizieren will, wenn Hoefer darauf erfolgreich reagieren kann: "[...] Je ne comprends pas trop bien ce que vous m'écrivez si la lettre que je vous ai addressée, sera publiée dans votre journal ou si elle ne le sera pas. Je comprends qu'on peut refuser d'insérer une réclamation quand elle n'est past fondée. Mais je ne comprends pas comment on peut refuser l'insertion pour le cas, que la réclamation est sie bien fondée que celui contre lequel elle est dirigée ne peut rien répliquer [...] Vous voulez publier volontiers ma réclamation, si M. Hoefer y peut répondre victorieusement; mais vous me priez de vous dispenser de ce soin dans le cas que M. Hoefer n'aura rien à répliquer. Cela veut dire, que vous voulez publier ma lettre sie elle vous paraît mal fondée, et que vous ne le voulez pas si elle ne peut être refutée. Je ne sais pas si cela en France s'appelle équité [...]".

Nach seiner Promotion trat Kopp 1839 in das Labor Justus Liebigs in Gießen ein, wo er sich 1841 habilitierte und 1843 zum Professor für Physik und Chemie ernannt wurde. Zwischen 1843 und 1847 publizierte er eine Geschichte der Chemie in vier Bänden, die als sein Hauptwerk betrachtet wird. Später, 1864 folgte er einem Ruf an die Universität Heidelberg, wo er bis an sein Lebensende lehrte und forschte.

Kleine Fehlstelle am oberen Seitenrand, geringer Textverlust. Ausriss durch Siegelöffnung, kein Textverlust.

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