Drucki-Lubecki, Onufry, member of the Polish state council (ca. 1770-1840). 8 autograph letters signed.

Warsaw, Paris and Rome, 1823-1828.

8vo and 4to. Together 9½ pp. on 7 bifolia and 1 single sheet. In a former collector's wrapper with ms. title: "Lettres de M. Onuphre Lubecki à M. Mazeau - Relatives à divers prêts Remboursés".

 850.00

To Jean Pradeau dit Mazeau, a French councillor to the Polish sovereign during the Napoleonic era, mainly about money loans and his health as well as relations with the Radziwill family.

Asking for a loan of six thousand Francs, to be repaid within two months, in order to help his nephew settle his debts in Geneva: "Comme mon frère en a l'honneur et peut-être beaucoup de membres de ma Famille d‘être connu de Vous, j'ose avec confiance m'adresser à Vous Monsieur dans l'embarras où je me trouve a cause de mon neveu. Ce de Geneve qui est venu ici, il a ait des dettes là et pour les payer il a contracté ici de plus fortes [...] je m'avise de Vous prier d'en avoir cette complaisante bonté que de vouloir me faire un pret de six mille francs à terme de deux mois […]" (Paris, 26 Sept. 1823).

Describing his past year, parts of which he spent in Lyon and Rome, lamenting not having lived but merely vegetated due to his gout; also about the desolate state of his sister in Paris, and announcing that he will delay settling his debts: "Trois mois j'en ai passé à Lyon et aux alentours et c'est à la veille de Noël que je suis arrivé à Rome et toujours maladive. A la mie de Janvier Goutte dans la tête, et Chiragre dans la main droite et en sur la nouvelle de l'état desesperé de cette soeur qui est a présent à Paris […] Tout cela en a complettemant renversé mon moral: Monsieur Mazeau, je ne vivai pas, j'en ai végeté seulement […] ma dette sera payé peut-être avec un peu de retard encore […]" (Rome, 8 Dec. 1825).

Discussing a letter from St. Petersburg about the wedding of princess Stephanie Radziwill (1809-32) and Ludwig Adolf Friedrich von Sayn-Wittgenstein-Sayn (1799-1866), which means the end of her guardianship; encouraging him to resolve as soon as possible an issue with Theophila Radziwill (1791-1828), mother of the princess: "Mais je Vous repete […] comme Votre ami et reconnaissant Obligé, pas de retard: une circonstance nouvelle, qui est d'après une Lettre de St. Petersbourg du mariage de la Princesse Stephanie, et par consequent la cessation de la tutelle est un motive de plus pour le non rétard, et quoique Votre affaire est avec la mère vaut mieux pour Vous de faire une démarche décisive, avant que la tutelle rends ses comptes […]" (Warsaw, 3 March 1828).

About his sister Teresa Scipio Drucka-Lubecka (1774-1847), still in Lithuania, while his sister-in-law is struggling to meet Princess Radziwill, who owes Mazeau 5,000 ducats, which is why he cannot now tell him whether the princess knows anything about whether the money has been sent: "Ma soeur Scipion est encore en Lithuanie et ma Belle soeur, malgré toute sa bonne volonté ne pouvai pa encore avoir une entrevue auvec la Princesse Radziwill: or donc je ne peut pour à présent Vous dire avec sureté si Votre Débitrice sait quelque chose de l'envoi de cinq mille ducats […]" (Warsaw, 30 March 1828).

The letter from Rome somewhat waterstained, as is the wrapper; otherwise a very well preserved ensemble.

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