Stock, Pierre Victor, Buchhändler und Verleger (1861-1943). 17 eigenh. Briefe mit U.

Le Perreux und o. O., 1935-1943.

Zusammen 20½ SS. auf 12 Doppelbll. und 5 Einzelbll. 8vo. Mit 3 eh. adr. Kuverts und 2 montierten eh. Kuvertfragmenten.

 1,800.00

An den Schriftsteller und Verleger Maurice Delamain (1883-1974), seit 1921 Eigentümer und Leiter der Éditions Stock, des zuvor von Stock geleiteten renommierten Pariser Verlagshauses, über Literatur, seine kriegsbedingt prekäre finanzielle Lage sowie seine Gesundheit, und mit Dank und guten Wünschen zum Neuen Jahr.

Über Oliver Twist mit der Bemerkung, dass Dickens' Werk nicht mehr urheberrechtlich geschützt sei und jeder es übersetzen dürfe, über sein autobiographisches Werk "Mémorandum d'un éditeur" (1935), für das er viel Lob erhalten habe, und mit der Ankündigung, Delamains Kollegen Jacques Boutelleau (Pseud. Jacques Chardonne) zu treffen, um über eine Edition der Werke des Schriftstellers Albert Thibaudet zu sprechen: "Pour ce qui est du Voleur de Londres de Dickens, j'ignore tout de cette histoire [...] Dickens est dans le domaine public depuis 1924 et que n'importe qui peut le traduire […] Pour le mémorandum j'ai reçu pas mal de lettres très élogieuses et que je crois sincères […] J'irai voir Boutelleau mercredi […] et lui parlerai de Thibaudet ouvrage que je voudrais voir irréprochable […]" (Le Perreux, 7. IX. 1936).

Mit dem Angebot, infolge des Ausfalls vieler Arbeitskräfte durch die Mobilmachung in der Buchhandlung einzuspringen, und sei es nur, um Pakete zu schnüren: "Vos librairies sont sans doute démontées par suite de la mobilisation et si vous manquez de personnel n'oubliez pas que je suis à votre disposition, ne serait-ce que pour faire des paquets […]" (Le Perreux, 5. IX. 1939).

Über seine seit Kriegsbeginn prekäre materielle Lage, bedauernd, dass die gängigen Literaturzeitschriften ihren Betrieb eingestellt haben: "Malgré les restrictions la vie matérielle m'est terriblement dure [...] depuis cette funeste guerre. Plus rien ne parait de moi dans le mercure, toute l'édition, les nouvelles-littéraires, le Journal qui, eux mêmes, ont cessé d'éxister […]" (Le Perreux, 2. I. 1941).

Über seine langwierige Genesung von Fuß- und Herzleiden sowie über den Sturz seiner Frau in seinem Büro: "Cela a débuté par un oedème des pieds [...] Préoccupé uniquement de cet oedème, qui m'a obligé de rester six semaines au lit […] j'ignorais que […] le coeur fonctionnait mal […] Je vais mieux et j'ai l'autorisation, depuis 3 jours, de me lever q.q. moments […] Ma femme […] a même fait une mauvaise chute, sans raison apparente, dans mon bureau, ces jours derniers! […]" (Le Perreux, 6. XI. 1942).

Ein Brief an Jacques Boutelleau mit Dank für seine und Delamains Unterstützung, ohne die seine Frau und er in Zeiten, in denen alles unerschwinglich sei, nicht überleben könnten, und mit Lob für Édouard Bourdets Theaterstück "Hymenée" (1941): "Je voulais vous remercier l'un et l'autre de votre bonté, de votre aide si charitable, sans elles comment, ma femme et moi, pourrions-nous vivre? à une époque ou l'on ne peut rien acheter qui ne suit à un prix prohibitif! […] Je viens de lire, cependant, Hymenée qui est une oeuvre de valeur et d'une folie psychologie, de plus le dialogue en est délicieux, M. Bourdet a bien du talent [...]" (Le Perreux, 5. XI. 1941).

13 Briefe auf Briefpapier mit gedr. Briefkopf. Ein Brief mit Stempel der Librairie Stock. Kleine Randläsuren, vereinzelte Rostspuren sowie gelegentlich Spuren alter Montage.

Stock Code: BN#58622 Tag: